Les soeurs salam
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Les soeurs salam


 
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 des histoires de sagesse

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LEILA
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Date d'inscription : 25/01/2009

des histoires de sagesse Empty
MessageSujet: des histoires de sagesse   des histoires de sagesse Icon_minitimeMar 22 Sep - 19:40

*Mon darss inchallah de ce soir est une petite collections d’histoires de sagesse et de comportement de gens pieux que allah soubhanou a honoré par l’acquisition d’une foi profonde ,et qui suscite une jalousie de faire inchallah pareil ou bien suivre le même chemin tant qu’on peut ,j’espère pouvoir vous transmettre les émotions que j’ai eux a la lecture de ces histoire inch,

Bismilah
Un homme s'est réveillé Tôt pour faire
la priére d'al fajr à la mosquée.
*
*Après s'être habillé et avoir fait ses ablutions, il se mis en marche vers la mosquée. Une fois rendu à la moitié du chemin, il trébucha, salissant ainsi ses vêtements. Il rembourssa chemain vers sa maison, refit ses ablutions et pris une seconde fois le chemin de la mosquée. Au même endroit, il trébucha salissant une seconde fois ses vêtements et s'en retourna chez lui pour refaire ses ablutions et changer de vêtements. Sur le chemain de la mosquée, un homme éclairant la route d'une lanterne l'aborda:

- Qui es-tu? demanda l'homme à l'inconnu,
- je t'ai vu tomber deux fois, alors j'ai décidé de t'aider en t'éclairant le chemin.

À la porte de la mosquée, l'homme demanda à l'inconnu d'entrer pour prier avec lui; une offre qu'il déclina vigoureusement. L'homme lui demanda la raison de son refus d'entrer à la mosquée:
*
-Je suis Satan, répondit l'inconnu. Je t'ai fait tomber la première fois pour t'empêcher de prier, mais quand tu es revenu après avoir refais tes ablutions et changer tes vêtements, Allah t'avais pardonné tous tes péchés. La seconde fois que je t'ai fais tomber, Allah pardonna a ta famille. J'ai eu peur qu'Allah pardonne à tout ton village si tu tombais une troisième fois!

Sagesse d’un savant musulman machallal wa barek

C'est l'histoire d'un jeune homme qui étudia à l'étranger pour quelques années. De retour chez lui, il demanda à ses parents de lui trouver un savant religieux ou n'importe quel expert qui serait capable de répondre à 3 de ses questions. Finalement, ses parents ont pu trouver un savant Musulman.

Jeune homme: Qui es-tu? Serais-tu capable de répondre à mes questions?

Savant: Je suis un serviteur d'Allah (Subhana Wa Ta'ala) et insha-Allah (si Dieu le veut), je serais capable de répondre à tes questions.

Jeune homme: Es-tu sûr? Beaucoup de professeurs et d'experts n'ont pas pu me répondre convenablement.

Savant: Je ferais mon possible avec l'aide d'Allah (qu'il soit Exalté).

Jeune homme: J'ai 3 questions: 1. Est-ce que Dieu existe? Si oui, montre moi sa forme. 2. Qu'est- ce que le takdir (destiné) ? 3. Si le shaitan (Satan) a été créé de feu, pourquoi au Jour Dernier il sera jeter en enfer qui est aussi créé de feu. Certainement il n'aura pas mal du tout, puisque Satan et l'enfer ont été tous les deux créés de feu. Est-ce que Dieu n'aurait pas pensé à ça à ce moment là ? Soudainement, le Savant donna une gifle sévère sur la face droite du jeune homme.

Jeune homme (douloureusement): Pourquoi tu t'es fâché après moi ?

Savant: Je ne suis pas fâché. Cette gifle est la réponse à tes trois questions.

Jeune homme: Je ne comprends vraiment pas.

Savant: Comment tu t'es senti après que je t'ai frappé ?

Jeune homme: J'ai senti de la douleur bien sûr.

Savant: Alors crois-tu que cette douleur existe?

Jeune homme: Oui.

Savant: Montre moi la forme de la douleur !

Jeune homme: Je ne peux pas.

Savant: Ça répond à ta première question. Nous sentons tous l'existence de Dieu sans toutefois être capable de voir sa forme.

Savant: La nuit dernière, as-tu rêvé que tu recevras une gifle de moi ?

Jeune homme: Non.

Savant: As-tu jamais pensé que tu recevras une gifle de moi, aujourd'hui ?

Jeune homme: Non.

Savant: C'est ce que le takdir (destiné).

Savant: La main que j'ai utilisé pour te frapper, de quelle matière a-t-elle été créé?

Jeune homme: Elle a été créé de peau.

Savant: Et ta face, de quelle matière a-t-elle été créé?

Jeune homme: De peau.

Savant: Et comment tu t'es senti après que je t'ai frappé?

Jeune homme: Douloureux.

Savant: Même si Shaitan (Satan) et aussi l'enfer ont été créés de feu, si Allah le veut, insha-Allah, l'enfer deviendra un endroit extrêmement douloureux pour Satan (vous avez des questions )

Les 3 filtres

Il était une fois, à l’époque des califes abbassides, dans la capitale musulmane Bagdad, un grand savant connu pour sa sagesse. Cet homme avait passé sa vie à étudier le Coran et les paroles du Prophète , et il était très pieux.

Jamais on ne l’entendait dire du mal de quelqu’un, se moquer des autres ni répéter des paroles inutiles.
Tout le monde l’aimait, car il avait toujours une parole gentille ou un sourire pour les gens qu’il rencontrait, et il était toujours prêt à aider les autres.

Un jour, l’un de ses voisins vint le trouver :

As-salamou alaykoum !

Wa alaykoum as-salam wa-rahmatou llahi wa-barakatouhou, répondit le savant.

Sais-tu ce qu’on vient de me dire à propos de ton ami Abdallah ? poursuivit le voisin.

Attends un peu, répliqua le savant. Je vois que tu brûles d’envie de me dire quelque chose. Mais avant que tu me le dises, j’aimerais te faire passer un petit test. Cela s’appelle le test des trois filtres.

Des trois filtres ? s’étonna le voisin.

Exactement, poursuivit le savant. Avant que tu ne me parles de mon ami, ce serait une bonne idée de prendre le temps de filtrer ce que tu comptes me dire. Nous allons faire passer ce que tu voulais me dire dans trois filtres : ce qui en restera, tu pourras me le dire. C’est pourquoi j’appelle cela le test des trois filtres. Tu es prêt ?

Oui, répondit l’homme, de plus en plus étonné. (En effet, quand il bavardait avec ses voisins, il n’avait pas l’habitude de prendre tant de précautions).

Allons-y donc, dit le savant ? Le premier filtre est celui de la vérité. As-tu bien vérifié que ce que tu veux me dire est vrai ?

Non, répondit l’homme. En fait on vient juste de me le raconter et…

Bon, dit le savant. Donc, tu n’es pas du tout sûr que ce soit vrai. Le filtre de la vérité n’a pas gardé ce que tu voulais me dire. Essayons maintenant le second filtre, celui du bien. Est-ce que ce que tu voulais me dire sur mon ami est quelque chose de bien ?

Euh, non, au contraire…

Ah, poursuivit le savant. Donc tu voulais me dire quelque chose de mal sur mon ami, mais tu n’es pas certain que ce soit vrai. Je ne sais pas si je vais pouvoir t’écouter…Mais peut être que tu réussiras quand même le test, car il reste encore un filtre : le filtre de l’utilité. Si tu me dis ce que tu voulais me dire sur mon ami, est-ce que cela me sera utile ?

Euh bien…non, pas vraiment.

Alors, conclut le savant, si ce que tu voulais me dire n’est pas vrai, n’est pas bien et n’est même pas utile, ce n’est pas la peine de me le dire, tu ne crois pas ? Les paroles peuvent faire beaucoup de mal, et il ne faut pas les répandre n’importe comment. Une parole qui n’est ni vraie, ni bonne ni utile ne vaut pas la peine d’être dite. Alors avant de te dire quelque chose, ou de répéter ce qu’on t’a raconté, n’oublie pas de soumettre tes paroles au test des trois filtres ! Cela t’évitera certainement des péchés. Allah nous dit dans le Coran :

« ش vous qui croyez ! Ne vous moquez pas les uns des autres, car il se peut que ceux-ci soient meilleurs que ceux-là. Que les femmes ne se moquent pas les unes des autres, car il se peut que celles-ci soient meilleures que celles-là. Ne vous calomniez pas les uns les autres, et ne vous donnez pas de sobriquets injurieux. Quel vilain mot que « perversion », quand on a déjà la foi. Ceux qui ne se repentent pas, voilà les injustes. »

(Sourate 49, verset 11)

Le voisin, un peu confus, rentra chez lui et réfléchit longuement aux paroles du savant. Depuis ce jour, il étonna ses voisins en cessant d’écouter les bavardages inutiles, et en demandant à ceux qui voulaient lui raconter quelque chose :
l'islam n'est pas a vendre!!!
Voici une petite histoire à mediter
Un nouveau imam a été affecté à une mosquée de Londres. Pour se
rendre en ville, il prenait toujours le même bus, et souvent avec
le même conducteur.

Un jour, en achetant son ticket le conducteur se trompe et lui rend
20 centimes de monnaie en trop.

L'imam se rend compte de l'erreur une fois assis lorsqu'il a
recompté sa monnaie. Il s'est dit qu'il devait rendre les 20
centimes au conducteur, puis son neffs lui dit que c'est une somme
ridicule et que le conducteur s'en moque! L'entreprise des
transports en
commun gagne beaucoup d'argent et ce ne sont pas ces
20 centimes qui affecteront leurs comptes. Il s'est dit qu'il
pouvait les garder et les considérer comme un cadeau du ciel.

Arrivé à son arrêt, l'imam se lève et change d'avis, et avant de
descendre il va voir le conducteur et lui rend les 20 centimes en
disant: "Vous m'avez rendu en trop". Le conducteur sourit et lui
dit: "Vous êtes le nouveau imam de la mosquée n'est-ce pas? En
fait, ça fait quelque temps que je pense rendre visite à votre
mosquée pour apprendre l'Islam, et j'ai fait exprès de vous rendre
de la monnaie en trop pour voir votre réaction."

En descendant, l'imam a senti ses jambes
flancher et a faillit s'effondrer.
Il se resaisit en s'appuyant à un poteau, puis il regarda le ciel
les yeux en larmes: "Ô Allah! J'ai faillit vendre l'Islam pour 20
centimes!!! "


La morale:

Les musulmans, hors de la terre d'Islam, vous êtes en première
ligne. Des ambassadeurs de l'Islam! Peut-être que vous êtes la
seule, et la première, image concrète de l'Islam pour beaucoup de
non-musulmans. Soyez à la hauteur! Ne déshonorez pas la Oumma de Mohammed !

N'oubliez jamais qu'à travers vous, on fera, malheureusement, le
procès de l'Islam!
**La pomme **
Je vais vous racontez une très belle histoire qui s’est réellement passée


Au 1er siècle de l’hégire dans la ville de Koufah, Sabeth marche sous un soleil brûlant en plein midi. Il arrive dans un jardin et voit une pomme tombée à terre. Il la ramasse et en mange la moitié. Puis il se rappelle qu’il n’a pas le droit de manger quelque chose qui ne lui appartient pas, il se blâme d’avoir manger la moitié de cette pomme, et à ce moment, survient le jardinier.
Sabeth lui dit :
« Je vous demande pardon pour la moitié de pomme que je viens de manger ; voilà, je vous rends ce qui reste de la pomme. »
Le jardinier dit :
« Je ne suis pas le propriétaire du jardin, et je n’ai pas le pouvoir de vous accorder le pardon. »
« Qui est le propriétaire alors ? » demande Sabeth.
Le jardinier lui indique une maison. Sabeth s’y rend, demande à voir le propriétaire et lui raconte ce qui s’est passé.
Le propriétaire dit :
« Je vous pardonne à une seule condition ! Si vous l’acceptez ; vous êtes pardonné, sinon vous me rendrez des comptes au jour du jugement dernier devant Celui Qui veille tout le temps et Qui n’oublie rien. »
Sabeth se met à trembler de tout son corps, de peur que la condition ne soit trop dure.
« Quelle est cette condition ? » demanda-t-il.
« Je veux vous donner ma fille en mariage. » répondit le propriétaire.
« Est-ce là une condition ? C’est plutôt un prix de mérite et une récompense d’encouragement. »
Mais le propriétaire du jardin poursuit aussitôt :
« Je vais vous décrire ma fille : Elle est aveugle, sourde, muette, handicapée. Elle ne peut ni entendre, ni parler, ni voir, ni marcher ! Si vous la prenez pour épouse, je vous pardonne, sans cela vous ne pourrez pas bénéficier de mon pardon. »
Sabeth réfléchit longuement, la tête baissée...
Puis il dit :

"Je l’épouserai. Maintenant, pardonnez-moi. Je la servirai devant Dieu Tout Puissant."
Le propriétaire fait venir deux compagnons du Prophète pour être les témoins du mariage. Puis arrive le jour du mariage.
Le père de la fille dit :

"Je vous ai préparé une chambre dans ma maison."
Il introduit ensuite sa fille dans la chambre et Sabeth entre à son tour. Il la voit assise et lui adresse le salut conformément aux préceptes de l’Islam.
Son père lui avait dit qu’elle était aveugle, muette, sourde, et handicapée. Or celle-ci répond à son salut puis se lève, et lui serre la main. Il constate alors qu’elle n’est ni aveugle, ni sourde, ni muette, ni handicapée !
Etonné, il s’exclame :

"Expliquez-moi ? Votre père vous avez décrit autrement ! ! Vous n’êtes donc pas aveugle, sourde, muette et handicapée ?"
Elle lui répond :

"Mon père ne vous a pas mentit : Il a dit que je ne voyais pas, et effectivement, je suis aveugle à tout ce qui puisse provoquer la colère de Dieu Tout Puissant.

Il vous a dit également que j’étais sourde : Effectivement, mes oreilles n’ont jamais entendu ni médisance, ni diffamation, ni frivolité, ni futilité.

Il vous a dit que j’étais muette : Effectivement, je n’ai jamais prononcé de paroles susceptibles de susciter la colère de Dieu. Je suis muette à tout ce qui peut me divertir de mon adoration de Dieu.

Il vous a dit que j’étais handicapée : Effectivement, je ne fréquente aucun lieu qui ne donne pas satisfaction à Dieu. Je vais seulement à la mosquée et accomplir de bonnes œuvres.

Mon père n’a pas menti mais a bien dit la vérité."
Sabeth la regarde alors, et la trouve d’une beauté éblouissante. De leur union naquit le grand imam Abou Hanifa.
La Brûlure
Un jour, une princesse se promenait seule dans la forêt. La nuit commença à tomber, et elle se rendit compte alors qu'elle était loin de chez elle et se mit à pleurer car elle n'arrivait plus à retrouver son chemin.

Seule dans cette forêt, elle avait froid, faim et très peur. Elle marchait dans le but de retrouver son chemin quand soudain, elle aperçut une lumière au loin.

Elle s'en approcha et vit une petite maison ; elle toqua à la porte et un jeune homme lui répondit , il s'étonna de voir une jeune fille à cette heure tardive de la nuit et lui demanda ce qui lui était arrivé.

Elle répondit en sanglotant qu'elle s'était perdue, et il la fit donc entrer chez lui.

Il vivait seul, il se rappela cette phrase : « Quand deux personnes sont seules, Shaitane est la troisième personne ».

Il lui donna à manger, à boire ainsi que des vêtements chauds et lui présenta une chambre ou elle passerait la nuit.

Il s'assura qu'elle ne manquait de rien, puis il partit faire la prière. Shaitane lui dit de se dépêcher, car la princesse est seule dans l'autre pièce : c'est une belle fille, parfumée, séduisante.

Pour combattre Shaitane, le jeune homme enchaîna une prière à la suite d'une autre, pendant une bonne partie de la soirée.

Mais Shaitane continuait toujours à l'inciter à tenir compagnie à la princesse, et à commettre un péché.

C'est alors qu'il alluma une bougie, mit son doigt dans la flamme pendant quelques secondes jusqu'à ressentir une violente brûlure, puis retourna faire la prière jusqu'au lendemain matin.

Comme il faisait jour, il reconduisit la princesse chez elle ; celle-ci raconta tout ce qui s'était passé à son père, et lui dit qu'elle avait vu le jeune homme mettre son doigt dans la flamme d'une bougie, et avoir très mal.

Le Roi convoqua alors le jeune homme et lui demanda pourquoi il s'était volontairement brûlé le doigt. Il répondit que c'était une affaire entre lui et Allah.

Mais le Roi voulait absolument comprendre et força le jeune homme à répondre.

Alors, il expliqua :

« La punition du péché est le feu de l'Enfer : pour m'empêcher de commettre un péché, j'ai voulu ressentir la sensation du feu : c'est pour cela que j'ai mis mon doigt dans la petite flamme de la bougie, ceci m'a fait mal, même si c'était une petite flamme, alors j'ai pu imaginer un petit instant la punition du feu de l'Enfer ! »

Le pauvre jeune homme avait le doigt tout brûlé.

La princesse, qui avait tout entendu, se convertit à l'Islam et, touchée par la délicatesse de ce jeune homme, l'épousa.
Le collier

Il était une fois un homme pieux qui se trouvait à La Mecque. Il n’avait plus d’argent, il souffrait de la faim, il était presque sur le point de mourir. Pendant qu’il marchait dans une des ruelles de La Mecque, il trouva un collier de valeur, très précieux. Il prit donc le bijou et se rendit à la sainte Mosquée.
Là, il trouva un homme qui cherchait le collier. Ce dernier lui décrivit le bijou sans se tromper ; l’homme pieux lui donna donc le collier en espérant recevoir quelque chose en retour mais le propriétaire prit le bijou et partit sans rien lui donner... L’homme pieux fit cette invocation : "Ô mon Dieu, j’ai renoncé à ce collier pour Toi, remplace-le moi par quelque chose de meilleur."
Plus tard, l’homme partit en direction de la mer, il monta dans une barque mais un ouragan se déchaîna et l’embarcation fut détruite. L’homme pieux s’accrocha à un morceau de bois, il flottait ainsi à la surface de l’eau, le vent le faisait dériver jusqu’à ce qu’il atteignit une île. Là, il trouva une mosquée où des gens priaient, il pria donc puis se mit à lire le Coran. Les gens de l’île lui dire : "Tu lis le Coran ?"
Il répondit : "Oui"
Ils dirent : "Enseigne le Coran à nos enfants, s’il te plait"

Il commença donc à leur enseigner et recevait un salaire pour cela. Lorsque les gens virent qu’il savait également écrire, ils lui demandèrent d’apprendre l’écriture à leurs enfants, ce qu’il fit et il en fut rémunéré.
Les habitants de l’île dirent à l’homme pieux : "Il y a ici une orpheline dont le père, qui est décédé, était un homme de bien. Voudrais-tu l’épouser ?"
Il répondit : "D’accord."
Il se maria donc et trouva que sa femme portait le même collier que celui qu’il avait trouvé à La Mecque ! Il lui demanda alors : "Quelle est l’histoire de ce bijou ?"
Elle lui raconta que son père, un jour, perdit ce collier à La Mecque et qu’un homme le lui avait rendu. Son père, depuis ce jour, invoquait Dieu, dans la prosternation, de donner à sa fille un époux comme cet homme qui lui avait rendu le collier. L’homme pieux dit alors à sa femme : "Je suis cet homme..."
Louange à Dieu, Seigneur des mondes
l'amour d'un fils pour son père mashaALLAH

Un homme arrive chez lui un soir fatigué
après une dure journée de travail,
pour trouver son petit garçon de 5 ans
assis sur les marches du perron.

"Papa, est-ce que je peux te poser une question?"

"Bien sûr!"

"Combien gagnes-tu de l'heure?"

"Mais ça ne te regarde pas fiston!"

"Je veux juste savoir. Je t'en prie, dis-le moi!"

"Bon, si tu veux absolument savoir, 10€ de l'heure".

Le petit garçon s'en retourne dans la maison avec un air triste.
Il revient vers son père et lui demande :

"Papa, pourrais-tu me prêter 5 €?"

"Bon, c'est pour ça que tu voulais savoir.
Pour m'emprunter de l'argent!
Va dans ta chambre et couche-toi.
J'ai eu une journée éprouvante,
je suis fatigué et j'ai pas le goût de me faire achaler
avec des niaiseries semblables".

Une heure plus tard,
le père qui avait eu le temps de décompresser un peu
se demande s'il n'avait pas réagi trop fort à la demande de son fils.
Peut-être bien qu'il voulait s'acheter quelque chose d'important.
Il décide donc d'aller dans la chambre du petit.

"- Dors-tu?"

"- Non, papa!"

"- Écoute, j'ai réfléchi et voici les 5 € que tu m'as demandé".

"- Oh merci papa!"

Le petit gars fouille sous son oreiller et en sort 5 € .
Le père en voyant l'argent devient encore plus irrité.

"- Mais pourquoi tu voulais 5 €?
Tu en as 5 €! Qu'est-ce que tu veux faire avec cet argent?"

"- C'est que... il m'en manquait. Mais maintenant j'en ai juste assez.
Papa... est-ce que je pourrais t'acheter une heure de ton temps?
Demain soir, arrive à la maison plus tôt,
J'aimerais jouer avec toi ! "
la femme qui parle avec le coran

L'Imam Abdallah Ibn Almoubarak rapporte:

Je me rendis à la ville sainte pour accomplir le pèlerinage et visiter la tombe du prophète . En chemin, je vis au loin une ombre noire, je m'approchais peu à peu pour me rassurer, c'était une femme vêtue d'une djellaba et d'un khimar en coton de couleur noire.
Ibn Almoubarak : Paix et miséricorde d'Allah sur vous.

La femme : "Salam" (paix et salut)! Parole de la part d'un Seigneur Très Miséricordieux. (Yassin 58)
سَلَامٌ قَوْلاً مِن رَّبٍّ رَّحِيمٍ


Ibn Almoubarak: Qu'Allah vous fasse miséricorde, que faites vous danss cet endroit?

la femme : « Et quiconque Allah laisse égarer, n'a plus personne pour le guider. » (Arra'd.33)
وَمَن يُضْلِلِ اللّهُ فَمَا لَهُ مِنْ هَادٍ

Ibn Almoubarak: (J'ai su qu'elle s'était perdue.)… Où allez vous??

la femme : « Gloire et Pureté à Celui qui de nuit, fit voyager Son serviteur (Muhammad ), de la Mosquée Al-Harâm à la Mosquée Al-'Aqsâ « (Al-issra'.1)
سُبْحَانَ الَّذِي أَسْرَى بِعَبْدِهِ لَيْلاً مِّنَ الْمَسْجِدِ


الْحَرَامِ إِلَى الْمَسْجِدِ الأَقْصَى الَّذِي بَارَكْنَا حَوْلَهُ لِنُرِيَهُ َ


مِنْ آيَاتِنَا إِنَّهُ هُوَ السَّمِيعُ البَصِيرُ
Ibn Almoubarak: «(J'ai su qu'elle avait accompli son pèlerinage et voulait visiter la mosquée sacrée Al-Aqssa à Al-Qouds ). …Depuis combien de temps êtes vous ici??

la femme : « Trois nuits tout en étant bien portant. » (Maryam.10)

ثَلَاثَ لَيَالٍ سَوِيّاً

Ibn Almoubarak: Je ne vois pas avec vous de nourriture?

la femme : « C'est Lui qui me nourrit et me donne à boire. » (Ach-chou’ara'.79)
هُوَ يُطْعِمُنِي وَيَسْقِينِ

Ibn Almoubarak: Avec quoi faites vous les ablutions??

la femme : « Si vous ne trouviez pas d'eau, alors recourez à une terre pure. » (An-nissa'.43)
فَلَمْ تَجِدُواْ مَاء فَتَيَمَّمُواْ صَعِيداً طَيِّباً

Ibn Almoubarak: J'ai avec moi de la nourriture, voulez vous manger?

la femme : « Puis accomplissez le jeûne jusqu'à la nuit. « (Albaqara.187)
ثُمَّ أَتِمُّواْ الصِّيَامَ إِلَى الَّليْلِ

Ibn Almoubarak: Il nous est permis de manger durant le voyage.

la femme : Mais il est mieux pour vous de jeûner; si vous saviez! « (Albaqara.184)
وَأَن تَصُومُواْ خَيْرٌ لَّكُمْ إِن كُنتُمْ تَعْلَمُونَ

Ibn Almoubarak: Pourquoi ne parlez vous pas comme moi??

la femme : « Il ne prononce pas une parole sans avoir auprès de lui un observateur prêt à l'inscrire. » (Qaf.18 )
يَلْفِظُ مِن قَوْلٍ إِلَّا لَدَيْهِ رَقِيبٌ عَتِيدٌ مَا

Ibn Almoubarak: Quelle genre de personne êtes vous??

la femme : « Et ne poursuis pas ce dont tu n'as aucune connaissance. L'ouïe, la vue et le cœur: sur tout cela, en vérité, on sera interrogé. » (Al-isra'.36)
وَلاَ تَقْفُ مَا لَيْسَ لَكَ بِهِ عِلْمٌ إِنَّ السَّمْعَ


وَالْبَصَرَ وَالْفُؤَادَ كُلُّ أُولـئِكَ كَانَ عَنْهُ مَسْؤُولاً

Ibn Almoubarak: Je me suis trompé, veuillez m'en excusez.

la femme : « Pas de récrimination contre vous aujourd'hui! Qu'Allah vous pardonne. » (Youssouf.92)
قَالَ لاَ تَثْرَيبَ عَلَيْكُمُ الْيَوْمَ يَغْفِرُ اللّهُ لَكُمْ

Ibn Almoubarak: Voulez vous que je vous porte sur mon chameau jusqu'à que vous rejoignez la caravane??

la femme : « Et le bien que vous faites, Allah le sait. » (Albaqara.197)
وَمَا تَفْعَلُواْ مِنْ خَيْرٍ يَعْلَمْهُ اللّهُ
Ibn Almoubarak: (J'ai fais accroupir mon chameau pour qu'elle puisse monter facilement.)

la femme : « Dis aux croyants de baisser leurs regards ». (Annour.30)
يَغُضُّوا مِنْ أَبْصَارِهِمْ قُل لِّلْمُؤْمِنِينَ
Ibn Almoubarak: Montez ! … (Lorsqu'elle voulait monter, le chameau s'et enfui et lui a déchiré ses habits.)

la femme : « Tout malheur qui vous atteint est dû à ce que vos mains ont acquis. » (Ach-choura'.30)
مُّصِيبَةٍ فَبِمَا كَسَبَتْ وَمَا أَصَابَكُم مِّن

أَيْدِيكُمْ
Ibn Almoubarak: Patientez. ! … (Lorsqu'elle est montée sur le chameau elle a dit:

« Gloire à Celui qui nous a soumis tout cela alors que nous n'étions pas capables de les dominer. C'est vers notre Seigneur que nous retournerons. » (Azzoukhrouf.13-14)
لِتَسْتَوُوا عَلَى ظُهُورِهِ ثُمَّ تَذْكُرُوا نِعْمَةَ رَبِّكُمْ إِذَا اسْتَوَيْتُمْ عَلَيْهِ وَتَقُولُوا سُبْحانَ الَّذِي سَخَّرَ لَنَا هَذَا وَمَا كُنَّا لَهُ مُقْرِنِينَ

وَإِنَّا إِلَى رَبِّنَا لَمُنقَلِبُونَ



Ibn Almoubarak: j’ai pris la laisse de mon chameau et j’ai commencé à crier tout en marchant vite.

la femme : « Sois modeste dans ta démarche, et baisse ta voix. « (Loqman.19)

وَاقْصِدْ فِي مَشْيِكَ وَاغْضُضْ مِن صَوْتِكَ

Ibn Almoubarak: Je me mis à marcher tout en chantonnât des poèmes.

la femme : « Récitez donc ce qui (vous) est possible du Coran. » (Almouzzammil.20)
فَاقْرَؤُوا مَا تَيَسَّرَ مِنَ الْقُرْآنِ

Ibn Almoubarak: Vous avez fait beaucoup de bien, qu'Allah vous récompense de notre part.

la femme : « Mais les doués d'intelligence seulement s'en souviennent. » (Albaqara.269)
وَمَا يَذَّكَّرُ إِلاَّ أُوْلُواْ الأَلْبَابِ
Ibn Almoubarak: (Après avoir fais un bout de chemin avec elle, je lui demandais si elle avait un mari.)

la femme : « Ô les croyants! Ne posez pas de questions sur des choses qui si elles vous étaient divulguées, vous mécontenteraient. » ( Almaïda.101)
آمَنُواْ لاَ تَسْأَلُواْ عَنْ أَشْيَاء إِن تُبْدَ لَكُمْ تَسُؤْكُمْ يَا أَيُّهَا الَّذِينَ

Ibn Almoubarak: (Je me suis tu jusqu’à ce que nous avons rattrapés la caravane.) …Connaissez vous quelqu'un dans cette caravane??

la femme : « Les biens et les enfants sont l'ornement de la vie de ce monde. » (Alkahf.46)
زِينَةُ الْحَيَاةِ الدُّنْيَا الْمَالُ وَالْبَنُونَ

Ibn Almoubarak: (j’ai su qu'elle avait des enfants.) … Que font-ils à la Mecque??

la femme : « Ainsi que des points de repère. Et au moyen des étoiles (les gens) se guident. » (Annahl.16)
وَبِالنَّجْمِ هُمْ يَهْتَدُونَ وَعَلامَاتٍ
Ibn Almoubarak: (J’ai su qu'ils étaient pauvres, alors je me suis dirigé vers les coupoles et les immeubles.) … Nous voilà arrivés aux coupoles, qui recherchez vous??

la femme : « Et Allah avait pris Abraham pour ami privilégié. » (Annissa'.125) … « Et Allah a parlé à Moïse de vive voix « (Annissa'.164) … « Ô ! Yahyâ, tiens fermement au Livre (la Thora)! (Maryam.12)
وَاتَّخَذَ اللّهُ إِبْرَاهِيمَ خَلِيلاً

مُوسَى تَكْلِيمًا وَكَلَّمَ اللّهُ


الْكِتَابَ بِقُوَّةٍ وَآتَيْنَاهُ الْحُكْمَ يَا يَحْيَى خُذ
Ibn Almoubarak: (Après les avoir appelés, 3 jeunes ressemblant aux lunes sont venus et se sont assis devant moi et leur mère, puis elle dit:

« Envoyez, donc l'un de vous à la ville avec votre argent que voici, pour qu'il voie quel aliment est le plus pur et qu'il vous en apporte de quoi vous nourrir. » (Alkahf.19)
فَابْعَثُوا أَحَدَكُم بِوَرِقِكُمْ هَذِهِ إِلَى الْمَدِينَةِ


أَيُّهَا أَزْكَى طَعَامًا فَلْيَأْتِكُم بِرِزْقٍ مِّنْهُ فَلْيَنظُرْ

Ibn Almoubarak: (L'un d'eux a acheté de la nourriture et ils me l'ont présentée.)

la femme : « Mangez et buvez agréablement pour ce que vous avez avancé dans les jours passés. » (Alhaqqa.24)
هَنِيئًا بِمَا أَسْلَفْتُمْ فِي الْأَيَّامِ كُلُوا وَاشْرَبُوا

الْخَالِيَةِ

Ibn Almoubarak: Maintenant votre nourriture est pour moi illicite.

Les enfants : Pourquoi ô cheikh??

Ibn Almoubarak: Jusqu'à ce que vous m'informiez au sujet de votre mère.

Les enfants : Depuis 40 ans notre mère ne parle qu'avec le Coran de peur qu'elle ne commette un péché et qu'elle encoure la colère du Miséricordieux et ceci depuis sa lecture du verset suivant:

« Il ne prononce pas une parole sans avoir auprès de lui un observateur prêt à l'inscrire. (Qaf.18 )
يَلْفِظُ مِن قَوْلٍ إِلَّا لَدَيْهِ رَقِيبٌ عَتِيدٌ مَا
Ibn Almoubarak: Gloire au Capable de ce qu'Il peut faire…. »Telle est la grâce d'Allah qu'Il donne à qui Il veut. Et Allah est le Détenteur de l'énorme grâce. (Alhahid.21)


ذَلِكَ فَضْلُ اللَّهِ يُؤْتِيهِ مَن يَشَاء وَاللَّهُ ذُو الْفَضْلِ الْعَظِيمِ

AIME POUR TON FRERE CE QUE T'AIME POUR TOI-MÊME

Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les secrétions de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre homme devait passer ses journées couché sur le dos.

Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits où ils avaient été en vacances. Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait son temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.

L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.
De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux, modèles réduits……. parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel. De grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner. Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.

Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par la. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.

Les jours et les semaines passèrent. Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.

Des qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul. Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'œil dehors. Enfin il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or tout ce qu'il vit, fut... un mur !

L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité.

L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. " Peut-être, a-t-il seulement voulu vous encourager. " commenta-t-elle.


Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé. Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.
Le bol en bois





Un vieil homme fragile s'en alla demeurer avec son fils, sa belle-fille, et son petit-fils de quatre ans. Les mains du vieil homme tremblaient, sa vue était embrouillée et sa démarche chancelante.

La famille était attablée ensemble pour le repas. Mais la main tremblante de grand-père et sa mauvaise vue rendait le repas peu agréable. Les pois roulaient par terre, lorsqu'il prenait son verre, le lait se renversait sur la nappe.

Ce qui vint à tomber sur les nerfs du fils et de la belle-fille. "On doit faire quelque chose avec grand-père" dit le fils. Nous en avons assez du lait renversé, des bruits lorsqu'il mange et de ramasser la nourriture sur le plancher" Alors, le fils et sa femme montèrent une petite table dans le coin.

C'est là que grand-père ira manger pendant que le reste de la famille sera à la grande table. De plus, puisque que grand-père a cassé quelques assiettes, dorénavant il mangera dans un bol en bois.

Lorsque la famille regardait dans le coin, quelques fois ils pouvaient voir une larme sur les joues de grand-père qui était assis tout seul. En dépit de celà, les seuls mots que le couple avaient pour grand-père exprimaient la colère et les reproches lorsqu'il échappait une fourchette ou renversait sa nourriture par terre. Le jeune de quatre ans regardait tout cela en silence.

Un soir avant le souper, le père remarqua son fils qui jouait dans son atelier et il nota des copeaux de bois sur le plancher. Il demanda gentiment: "Qu'est tu en train de fabriquer ?" Aussi gentiment le fils répondit : "Ah ! je fais un bol en bois pour toi et maman pour manger lorsque je serai grand !"

Les parents furent tellement surpris par ces paroles qu ils étaient incapable de parler. Et puis, quelques larmes coulèrent sur leurs joues. Ils ne disaient rien mais ils savaient quoi faire.

Ce soir là, le fils pris grand-père par la main et l'amena gentiment à la table familiale. Pour le reste de ces jours, il mangea ses repas avec la famille et le fils et sa femme ne se troublaient plus lorsque grand-père échappait une fourchette, renversait son lait ou salissait la nappe.


Et ALLAH a dit :
وَقَضَى رَبُّكَ أَلاَّ تَعْبُدُواْ إِلاَّ إِيَّاهُ وَبِالْوَالِدَيْنِ إِحْسَاناً إِمَّا يَبْلُغَنَّ عِندَكَ الْكِبَرَ أَحَدُهُمَا أَوْ كِلاَهُمَا فَلاَ تَقُل لَّهُمَا أُفٍّ وَلاَ تَنْهَرْهُمَا وَقُل لَّهُمَا قَوْلاً كَرِيماً
et ton Seigneur a décrété :"N'adorez que Lui et marquez de la bonté envers les père et mère : si l'un d'eux ou tous deux doivent atteindre la vieillesse auprès de toi; alors ne leur dis point : "Fi !"* et ne les brusque pas, mais adresse-leur des paroles respectueuses."
[ Sourate 17 - Verset 23 ]
Allah a dit :
وَاخْفِضْ لَهُمَا جَنَاحَ الذُّلِّ مِنَ الرَّحْمَةِ وَقُل رَّبِّ ارْحَمْهُمَا كَمَا رَبَّيَانِي صَغِيراً
"et par miséricorde; abaisse pour eux l'aile de l'humilité; et dis : mon Seigneur, fais-leur; à tous deux; miséricorde comme ils m'ont élevé tout petit”. ( sorate Al-Isra', verset 24)



Retenez Vos Larmes !!!

Un jour, l'épouse de Abdoul-lah Ibn Hirâm rendit l'âme, lui laissant la charge de leurs neufs filles et leur garçon unique (Jâber). Le père dut alors faire face et élever seul ses dix enfants qui constituaient une lourde responsabilité. Cependant, ce devoir de père ne l’empêchait pas de combattre dans le sentier d'Allah. En effet, Abdoul-lah participa à la bataille de Badr. Jâber, son fils, demanda à combattre aussi, mais le père refusa en raison de son jeune âge.
Plus tard, à l'aube de la bataille d’Ohod, Jâber ayant acquis une certaine maturité et un certain âge, était fin prêt à combattre au côté des Musulmans. Malheureusement père et fils ne purent partir à l'expédition côte à côte et laisser les filles vouées à elles-mêmes sans tuteur à Médine. Ils étaient animés d'une grande ferveur, tous deux voulurent plus que tout participer au combat, mais l'un des deux devait impérativement rester pour veiller sur les filles. Ils n'eurent d'autre alternative que le tirage au sort.


Le père fut sorti vainqueur du tirage. C’est alors que Jâber se mit à pleurer, des larmes d’amour pour Allah, l’Islam et le Paradis.
Le père voyant son fils triste le réconforta en ces termes : « Mon fils, par Allah, si c’était autre chose que le Paradis, je te l’aurais laissé… ».

Le fils continua à pleurer et le père s’approcha de lui et poursuivit : « Jâber, je me vois mort en Chahid aujourd’hui ; même le premier des Chahids. Par Allah, la personne que j’aime le plus, après le Messager d’Allah, c’est toi mon fils. Sache aussi que j’ai des dettes, je te charge des les régler. Je te confie tes sœurs ; soit bon envers elles. »

Le père partit alors au combat et mourut effectivement en Chahid ; il fut même le premier des Chahids de la bataille.

Le jour même, on informa Jâber : « Jâber, ton père est mort ! » Bouleversé, celui-ci courut sur le champ de bataille à la recherche du cadavre de son père, mais les mécréants, après avoir tué ce dernier, l’avaient mutilé si cruellement, que la vue de son corps fut insoutenable, si bien que les compagnons n'autorisèrent pas Jâber à le voir.

Jâber raconte :
« Je voulais voir mon père ; mais les compagnons du Prophète me repoussaient ! Je leur disais de me laisser le voir ! Le Prophète leur donna l'ordre de me laisser m'approcher. J’ai donc regardé mon père, puis j’ai caché mes yeux remplit de larmes dans ma manche… Le Prophète m’a regardé et m’a dit « Mon fils, pleure-le ou ne le pleure pas ; les anges le recouvrent quand même de leurs ailes d’ici jusqu’au Ciel. Sois content, ô Jâber ! ». J’ai répondu :
- content de quoi, ô Messager d’Allah ?
- Jâber, tu sais quoi ?
- Oui, ô Messager d’Allah ?
- Allah ne parle au gens que derrière un voile.

Cependant, il a parlé à ton père sans voile ! Allah lui a dit : « ش serviteur, que souhaites-tu ? » Ton père a répondu : « Je souhaite revenir sur le champ de bataille, combattre aux cotés de ton Prophète et mourir sur Ton sentier, parce que j’ai trouvé cette mort magnifique ! » Allah lui a dit : « J’ai déjà affirmé qu’il n’y a de retour vers le bas monde, ô serviteur, souhaite autre chose. » Ton père a donc répondu : « Je souhaite que Tu informes mes frères combien je suis heureux ! »

Des versets ont alors été révélés au Prophète, paix et salut sur lui

_Wala tahsabanna allatheenaqutiloo fee sabeeli Allahi amwatan bal ahyaonAAinda rabbihim yurzaqoona.
Ne pense pas que ceux qui ont été tués dans le sentier d'Allah, soient morts. Au contraire, ils sont vivants, auprès de leur Seigneur, bien pourvus
_Fariheena bima atahumuAllahu min fadlihi wayastabshiroona biallatheenalam yalhaqoo bihim min khalfihim alla khawfunAAalayhim wala hum yahzanoona.
et joyeux de la faveur qu'Allah leur a accordée, et ravis que ceux qui sont restés derrière eux et ne les ont pas encore rejoints, ne connaîtront aucune crainte et ne seront point affligés.
_Yastabshiroona biniAAmatin mina Allahiwafadlin waanna Allaha la yudeeAAuajra almu/mineena
Ils sont ravis d'un bienfait d'Allah et d'une faveur, et du fait qu'Allah ne laisse pas perdre la récompense des croyants.
Qu'Allah nous accorde une mort sur Son sentier. Amine.
Seigneur, Tu as dit dans le Coran : { Invoquez-moi et Je vous exaucerai ! }
Tu as dit aussi : { [...] Je suis proche, en vérité, quand Mes serviteurs t'interrogent à Mon sujet;
Je réponds à l'appel de celui qui M'invoque, quand il M'invoque }
[ Sourate 2 - Verset 186 ]
Seigneur, Tu as dit dans le hadith qoudoussi : "Ceux qui M'invoqueront, Je les exaucerai, celui qui Me demande, Je lui donnerai; celui qui implore Mon pardon, Je lui pardonnerai" Nous voilà entre Tes mains, nous T'implorons, nous T'invoquons,
Mon Dieu, fais de nous des humains généreux ! Mon Dieu, ne nous déshonore pas au Jour du Jugement, Mon Dieu, assiste-nous pour le bien ! Seigneur, je Te demande assurance pour le Jour de la Menace, le Paradis pour le Jour de l'éternité, en compagnie de Tes rapprochés et des témoins, de ceux qui s'inclinent et se prosternent, et qui sont restés fidèles à leurs pactes. Tu es Le Miséricordieux, et Tu réalises ce que Tu veux.
Seigneur, voici nos mains qui se lèvent vers Toi avec nos péchés, voici nos fronts à terre en signe de repentir. Tu es le Berger qui n'abandonne pas la brebis égarée, Tu ne délaisses pas l'homme écrasé dans une maison en ruine, nos voix s'élèvent plaintives de compassion, viens à notre aide, apporte-nous Ton secours, pardonne nos péchés.
Gloire et pureté au Souverain, le Digne de glorification, Seigneur des Anges et du [Rouh] Saint-Esprit (Jibril)
« Certes nous sommes à Allah, et c'est à Lui que nous retournerons
O Allah, prie sur Mouhamed et sur la famille de Mouhamed, comme Tu as prié sur Ibrahim et sur la famille d'Ibrahim. Et Répands Tes bénédictions sur Mouhamed et sur la famille de Mouhamed, comme Tu les as répandues sur Ibrahim et la famille d'Ibrahim. Tu es vraiment digne de Louanges et de Gloire
اللهم اغفر للمسلمين و المسلمات و المؤمنين و المؤمنات و أصلح ذات بينهم و ألف بين قلوبهم و اجعل في قلوبهم الإيمان و الحكمة و أوزعهم أن يشكروا نعمتك التي أنعمت عليهم و أن يوفوا بعهدك الذي عاهدتهم عليه و اهدهم سبل السلام و أخرجهم من الظلمات إلى النور و جنبهم الفواحش ما ظهر منها و ما بطن و انصرهم على عدوك و عدوهم و بارك لهم في أسماعهم و في أبصارهم و أزواجهم ما أبقيتهم وأجعلهم شاكرين نعمك مثنين بها عليك قابليها بالحمد و أتمها عليهم يا أرحم الراحمين اللهم اغفر لموتى المسلمين الذين شهدوا لك بالوحدانية و لنبيك بالرسالة و ماتوا على ذلك، اللهم اغفر لهم و ارحمهم و عافهم واعف عنهم و أكرم نزلهم و وسع مدخلهم و أغسلهم بالماء و الثلج و البرد و نقسم من الذنوب و الخطايا كما ينقى الثوب الأبيض من الدنس..

ربنا اغفر لنا و لإخواننا الذين سبقونا بالإيمان و لا تجعل في قلوبنا غلا للذين آمنوا ربنا إنك رؤوف رحيم .. ربنا اغفر لنا ذنوبنا و إسرافنا في أمرنا و ثبت أقدامنا و انصرنا في القوم الكافرين .. ربنا آتنا في الدنيا حسنه و في الآخرة حسنه و قنا عذاب النار .. ربنا لا تؤاخذنا إن نسينا أو أخطأنا ربنا و لا تحمل علينا إصرا كما حملته على الذين من قبلنا ربنا و لا تحملنا ما لا طاقة لنا به و اعف عنا وأغفر لنا و ارحمنا أنت مولانا فانصرنا على القوم الكافرين. ربنا لا تزغ قلوبنا بعد إذ هديتنا و هب لنا من لدنك رحمة إنك أنت الوهاب .. ربنا ظلمنا أنفسنا و إن لم تغفر لنا و ترحمنا لنكو نن من الخاسرين .. سبحان ربك رب العزة عما يصفون و سلام على المرسلين و الحمد لله رب العالمين ..
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